~ Il est un temps pour chaque chose, et une place pour chaque être ~

Fiche d'identité

Prénom: Alexia
Nom: Dousmainc. Le S ne se prononce plus
Surnom: Inconnu
Sexe: Féminin
Âge réel: Entre cent cinquante deux et cent soixante douze ans. Elle ne sait plus si elle est née dans les années soixante dix ou quatreving dix...
Âge d'apparence: Une vingtaine d'années
Origine: Prussienne
Classe sociale: Commerçante
Emploi: Herboriste, accoucheuse. Faiseuse d'ange, aussi, parfois. Il n'est pas toujours tant pour certains de naître.

Race: VAMPIRE

Rang Pyramidal: Ordinaire
Secte: Bien qu'obéissant aux règles de la Camarilla, elle s'estime plutôt indépendante, plus intéressée par les humains que les intrigues des vampires. Pour ne pas dire qu'elle les fuit carrément
Clan: De la même manière elle essaie de se tenir à l'écart des clans et de la politique.
Lignée: Frères de sang

Description physique

Taille: 1m68
Poids: moyen
Yeux: bleus
Cheveux: blonds

Description détaillée: Il l'a repérée hier, cette garce. Sous ses airs propres sur elle, il est sur que c'est une femme de mauvaise vie, celle là. D'abord, elle est bien trop grande pour une honnête femme! Quand une gonzesse est aussi grande qu'un homme, elle commence à croire qu'elle vaut mieux que lui. Et celle là, elle se croit supérieure, il suffit de voir sa démarche, calme, absolument pas nerveuse, alors qu'elle est seule et de nuit.De nuit! Est-ce qu'une honnête femme se promène après le coucher du soleil? Et ses cheveux? Une femme convenable les porte longs, correctements coupés et attachés! Celle la est coiffée d'un mélange de mèches atteignant à peine ses épaules et d'autres, plus longues atteignant son dos sont à peine retenus par des tresses à moitié défaites. L'une d'elle tombe même dans son corsage, l'aguicheuse cherchant certainement à attirer ainsi l'oeil sur sa poitrine. Et il faut dire qu'elle n'a certainement pas d'autre moyens d'y attirer les regards, avec ses seins pauvres, surement pas aptes à nourrir des enfants. Est-ce que c'est pour ça que ses yeux semblent si vides? Ou qu'elle cherche à attirer les hommes avec du maquillage? Parce qu'on ne vienne pas lui dire qu'une telle pâleur de peau est naturelle. Les catins des beaux quartiers, celles qui usent et abusent d'artifices pour détourner les honnêtes gens et les dépouiller, n'ont pas la peau si blanche! Non, une femelle de cet acabit n'est bonne qu'à dévergonder la société, et il compte bien lui apprendre sa place. Et si son pantalon le serre, c'est seulement à l'idée de la noble mission qu'il se donne.

Vêtements: En plus de ça, il est sur que c'est une voleuse. Il suffit de voir la pierre qu'elle porte au creux du cou, d'un vert ensorceleur, grosse comme le poing d'un nouveau né. Elle doit valoir un sacré pactole, et cette idiote la porte simplement à son cou, comme ça? Et ça alors que ses vêtements, certes de bonne qualité, sont boueux et souillés de trainés brunes, de boue, et sentent la maladie et l'urine. Des traces suspectes, surtout sur une tenue blanche. Croit-elle d'ailleurs qu'arborrer la couleur des vierges et de l'inocence la fera passer moins décadente qu'elle n'est? Et ce gilet qu'elle porte, mal boutonné, qui fait penser aux tenues des soldats français. L'a-t-elle aussi volé à l'un de ces bouffeurs de grenouilles? Oh, pas qu'il aime les hommes de bonaparte, mais une voleuse est une voleuse, et méritera ce qu'il lui arrivera! Et peut-être même qu'en revendant la pierre, il pourra rembourser son ardoise chez Fred.

Particularités: En silence il s'approche de la femme, dégainant son couteau. Est-ce qu'elle l'a entendu? Toujours est-il qu'elle s'arrête et le regarde sans surprise, sans crainte. Sans émotions. Qu'importe. Ce n'est qu'une femme, désarmée, et qui ne fera surement pas le poids face à ses muscles à lui, taillés par un travail honnête sur les quais. Un sourire torve.

"Laisse toi faire ma jolie, et je ne te ferais pas trop mal..."

Il ne s'attend pas au léger sourire qui relève les comissures des lèvres de la garce.

Je crois que vous m'avez pris ma réplique.

Elle a la voix basse, de celles qui n'ont pas besoin de crier pour être écouté, et pourtant aussi inflexible que l'étau de sa main sur ses poignets. Il ne l'a pas vue bouger, mais en un battement de coeur, son couteau est jeté au loin, et lui maintenu contre le mur de la ruelle, le visage de la femme contre le sien. Elle sourit et il peut voir distinctement trois canines bien plus longues que la normale, avant qu'elle ne les plonge dans son cou. Avant de perdre connaissance, sa dernière pensée est une interrogation absurde. Pourquoi la canine en haut à droite est manquante?

Caractère

En public: Je passe par l'entrée de derrière, le temps de m'occuper de mon fardeau et de me changer, avant de rejoindre la boutique proprement dite. "Les milles herbes" n'est pas une boutique immense, située non loin du pont de Londres, mais j'ai travaillé dur à sa réputation. De jour comme de nuit, il y a quelqu'un pour accueillir un éventuel patient, un éventuel blessé. Actuellement, c'est Thomas qui somnole dans le lit contre la porte, au cas où l'on aurait sonné la cloche pendant que j'étais au prise avec un accouchement difficile. Un enfant que j'aurais mieux fait de faire passer, car sa mère a tout juste eu la force de le faire naitre, et je ne suis pas sure qu'elle se remettra des fièvres de l'enfantement. D'un effleurement, je réveille l'homme et le renvoie à l'étage finir sa nuit pendant que je prends son poste. Officiellement, je suis l'accoucheuse et la soigneuse de nuit, payée "à prix d'or" par Thomas pour assurer "le service de qualité que ses ancêtres ont instauré". Il faut dire que la boutique a près d'un siècle d'existence, après tout. Du temps que j'ai eu pour y faire porter divers aménagements. Par deux fois, on sonne à la porte. Trois prostituées qui profitent de l'habituel creux de la nuit pour venir chercher les décoctions qui leur permettront de chasser la vie de leur ventre pour la prochaine lune, et de se prémunir de la chaude pisse. Elles en profitent pour me faire part des derniers ragots qui agitent les docks, et je les écoute avec plaisir, même si je montre peu d'émotions. N'était ce pas la mère de Sally, il y a une vingtaine d'années, qui m'avait demandé ce qui avait pu arriver à "une pauvre petite comme toi" pour que je souris si peu? Aujourd'hui, sa fille pense que c'est un simple trait de famille, et que je suis bien comme ma mère. Enfin, elles me parlent d'une petite nouvelle sur les quais, à qui elles ont donné mon adresse, et se plaignent sur les tarifs exorbitants des cosmétiques, m'attirant un sourire amusé. Comment veulent-elles que je propose des soins aussi bas, si je ne rentre pas autrement dans mes frais? Il faut après tout que tout semble "en règle", après tout. Puis un homme qui vient me demander un remède pour la toux, et s'étonne que je sois celle qui l'ausculte. Avant de comprendre que c'est moi ou l'hospice. Et l'hospice, comme il me dit, "on y entre, mais on en ressort pas." Je ne peux qu'hocher la tête. Si les années passées m'ont appris beaucoup de choses sur les soins et le corps humain, je reste officiellement une jeune apprentie. Et si je n'ai pas de doutes quand à l'efficacité du traitement que je lui prépare, je m'assure de baisser les yeux, et de parler de cette voix douce et basse qui est devenue pour moi une seconde nature.

En tant que Vampire: Lorsque l'aube vient, je cède ma place à Isabelle, la femme de Thomas, et rejoint la cave. Si la première partie de la pièce est un laboratoire d'herbe tout ce qu'il y a de plus classique, la seconde partie est officiellement mon domaine, et aucun de mes descendant n'y est toléré. Je prends le temps de vérifier que les battants de bois qui occultent les soupiraux sont bien fermés, avant de me tourner vers le placard, et d'en ouvrir le double fond. Car même si, en théorie cette pièce est sure, je reste méfiante et il n'y a rien, au premier abord d'étrange dans la pièce. Un lit, deux placards d'herbes et de potions, une table avec un broc et un pot de chambre en dessous, des dessins anatomiques aux murs... La chambre d'une humaine un peu étrange, sans plus. Mais derrière le double fond du placard, ligoté à des anneaux scellés dans la pierre, allongé sur une paillasse en position déclive, bailloné et encore inconscient, il y a ma proie, que je ne pouvais pas laisser fuir, après tout. Alors autant qu'il me nourisse, et dans cette position il devrait survivre encore à deux, peut-être trois morsures, avant que je ne doive me débarasser du corps, peut-être en le revendant sous le manteau à l'école de médecine pour aider les étudiants à en apprendre un peu plus. Pas de gaspillage irrespectueux. Ma proie a certes été assez sotte pour s'attaquer à moi, mais ce n'est pas une raison pour la mépriser en la gachant. Je vérifie les liens, avant de refermer le placard capitonné, et de rejoindre le coffre, dans un coin de la chambre. Puisqu'un cercueil était inenvisageable, j'ai là aussi fait aménager la chambre, de manière à cacher sous un double fond un espace capitonné tout aussi confortable qu'un cercueil. Et plus pratique par sa discrétion.

Loisirs: Avant de refermer sur moi le double fond et le coffre, je prends quelques minutes pour écouter les sons du matin. Le laitier qui passe dans la rue. Isabelle qui chante en faisant le ménage. Les jumeaux qui se lèvent, et taquinent leur petite soeur. Thomas qui bougonne, décidément pas du matin. La voisine qui met son mari à la porte pour qu'il aille travailler. Ces petits sons de la vie quotidienne, que je commence à reconnaitre, un mois après mon retour. Enfin, mon "arrivée" en temps que petite cousine américaine de Thomas. Et si je suis bien arrivée des amériques, où j'ai passé 15 années délicieuses à apprendre le plus possible les plantes et les manières de soins chamaniques, je suis cependant plus que ravie de retrouver ma famille, ma descendance humaine, et le confort de ma maison, mon laboratoire, mes simples. De trier les dessins que j'ai pu faire et d'étudier encore et encore. Il faut croire que plus d'un siècle ne m'a pas rendue moins simple, ni intéressée par les nouveaux savoirs.

Religion: Refermant sur moi les panneaux qui me coupent du monde alors que l'endormissement me vient, je murmure mon habituelle prière. Merci de me confier vos enfants. Laissez moi en prendre soin encore un peu avant de les rappeler à vous. Non, ce n'est pas à Dieu que je m'adresse. Dieu ne veut plus de moi, après tout. Non, je parle plutôt à la grande mère, celle des religions païennes. Qui mieux qu'une mère comprendrait la douleur de voir un enfant partir? Pas un Dieu qui voit les femmes comme soumises aux hommes. Qui laisse punir les femmes pour les exactions des mâles.

Qualités: Quand je me réveille, la première chose que je fais est d'aller vérifier l'état de ma proie, qui a repris conscience durant la journée, et roule des yeux affolés. Même si je doute qu'il partage mon point de vue, je pense qu'il est la preuve d'une de mes principales qualités: l'économie. J'ai trop souvent manquée, humaine comme vampire, pour "gâcher", que ce soit une proie assez sotte pour se jeter dans mes bras, ou une opportunité de me nourrir. Et si je me doute que certains vampires auraient à redire au fait de boire les restes des saignées que pratiquent mon descendant et son fils, j'estime n'avoir pas besoin d'une stupide fierté. Elle ne nourrit personne. Je préfère survivre, quitte à faire ce qu'il faut pour protéger les miens sans plus être soumise aux bons voeux des hommes et des puissants.

Défauts: Parce que oui, je fais cette distinction. Je déteste les hommes, coupables de tant de souffrances. Et si je peux travailler avec, je serais toujours plus froide, plus méfiante voire plus agressive face à un homme.

Background

Résumé: Kidnappée humaine, et transformée au cours d'expériences par un vampire plus âgés sur la création de vampires plus puissants. Restée prisonnière une vingtaine d'années au moins avant que son créateur ne soit tué. A pris la tengente avec les membres survivants de sa famille. Vit aujourd'hui à Londres parmi ses descendants, se faisant passer pour une cousine/belle soeur des officiels propriétaires de son herboristerie.

Education
- La musique: Alors que je m'habille, j'entends la voix d'Eleonor, chantant une comptine. Faux, hélas, ce qui m'attire une légère grimace. Si je ne sais pas lire la musique, j'ai cependant une bonne oreille, et je connais un certain nombre de chants populaires, à la voix ou à la flute (d'ailleurs pourquoi ils rajoutent "traversière", maintenant pour parler d'une flute?)
- Les sciences: Laissant ma descendante massacrer les amourettes d'un prince apportant des fleurs de mai à sa mie, je rejoins l'autre partie de la cave, où sont les jumeaux, discutant ensemble. Je les rejoins avec un sourire et écoute Lorcan continuer de répêter à son frère ce qu'il a étudié en médecine, l'interrompant par moment pour corriger ou me faire préciser un point. Les femmes n'étudient pas la médecine, "bien sur". Mais mes descendants, mon expérience, mes voyages... M'ont donné une sérieuse connaissance des plantes, du fonctionnement du corps, et des intéractions entre les deux. Et si une grande part de ce travail est empirique, j'ai tout de même un sourire en entendant le garçon s'exciter sur les travaux d'un certain "Mendel", qui confirment une impression que certaines maladies se transmettent, des parents aux enfants.
- L'Alchimie: Lysander a son tour prend la parole, racontant son propre cours à l'académie des alchimistes. Là, mon savoir est bien plus parcellaire, et il lui faut m'expliquer plusieurs points pour que je les comprenne. Je sais utiliser quelques bases, mais là, mes connaissances empiriques et mon intuition sont insuffisantes pour me permettre une réelle maitrise de la matière. Tout juste suis-je capable de faire disparaitre, au besoin, les corps de mes proies, les transformant en sacs d'engrais pour ne pas trop souvent "trouver" des corps en bon état.
- Les langues: Et tandis que les jumeaux me racontent avec fierté ce qu'ils apprennent de leurs journées, leurs projets futurs et leurs découvertes, je ne peux m'empêcher de regretter que mes capacités de lecture soient si mauvaises. Si je peux lire et écrire au quotidien, les recherches et lectures continues me sont difficiles, les lettres se fondant et se mélangeant sous mes yeux. Conséquences d'avoir appris trop tard à écrire? Peut-être. De la même manière, si je parle, en plus de l'anglais, le français et l'allemand, je suis incapable de les lire, mon savoir étant cantonné à l'oral.

Histoire:
La discussion continue pendant le repas, auquel je participe, même si je me contente de boire un peu de thé et de bouillon. Si au début, Isabelle s'en est étonnée, elle a fini par se convaincre que c'était normal. Peut-être aidée par quelques suggestions chuchotées durant son sommeil,au moments où son esprit était le plus réceptif. Et pendant qu'elle et son époux étudient les comptes et discutent, je monte avec les enfants dans la chambre d'Eleonor. Eleonor qui a fêté hier ses 12 ans, occasionnant le début d'une tradition familiale. Une nouvelle avancée dans sa mise dans le secret. Il est tant pour elle de connaitre enfin l'histoire familiale. Une histoire qui commence par...

Il était une fois, il y a bien longtemps et dans un pays qui ne s'appelait pas encore la Prusse, une jeune femme, qui vivait avec ses parents et ses frères et soeurs.

C'était une princesse?

J'éclate de rire, tandis que les jumeaux taquinent leur petite soeur à l'esprit trop romancé.

Non, une simple paysanne. Cependant sa famille était relativement célèbre pour la capacité de ses femmes à donner naissances à des jumeaux. La jeune femme avait ainsi un frère, né le même jour qu'elle, un frère et une soeur aînée, jumeaux eux aussi, et deux petites soeur. Il y avait eu une jumelle, là aussi, mais elle était partie l'hiver précédent. L'aînée des filles arrivait en âge de se marier, et leur père savait qu'il faudrait lui fournir une dot, comme aux 3 autres. Un soir, vint un homme, qui lui proposa un arrangement. Il voulait bien épouser l'aînée, et ne demandait pas de dot. Pire, il s'engageait à emmener toutes les filles, et si leur père acceptait de ne plus les revoir, il leur fournirait à chacune un mari aimant.

Mon père savait-il ce qu'il faisait? J'aimerai croire que non. Mais il me semble, des années après me souvenir de la lueur calculatrice de son regard, tandis qu'il nous faisait ses adieux.

Après un mariage presque à la sauvette au crépuscule, avec un marié des plus nerveux qui soit, l'homme emmena l'héroïne...

Elle n'avait pas de nom?

Si, surement. Mais je ne sais plus lequel. C'était il y a longtemps, tu sais? Mais si tu veux, appelons là... Lucia.

Comme mon âge, mon nom s'est effacé de ma mémoire. Il me semble qu'il finissait par un A, raison pour laquelle je garde cette caractéristique à chaque changement, mais Lucia était-il mon nom, ou celui d'une de mes soeurs? Je l'ignore. Et tandis que je raconte, les souvenirs, me reviennent. Le chateau, la chambre, puis les barreaux aux fenêtres. Puis les cachots, les cris et les expériences, si douloureuses.

Lucia découvrit vite que l'homme qui les avait emmenées n'était pas bon, comme il l'avait prétendu. Oh, le chateau dans lequel il les avait amené était magnifique, la nourriture était excellente, mais il y avait des choses étranges. Les serviteurs fatigués, des visiteurs qui arrivaient, mais qu'elle ne voyait jamais repartir, et nombre de pièces interdites aux enfants. Les premiers mois se passèrent bien. Lucia voyait peu sa soeur aînée, leurs chambres étant séparées, et l'homme encore moins, ne le croisant qu'après diner. Quelques semaines à peine après l'arrivée de Lucia et de ses soeurs au chateau, l'aînée tomba enceinte. Sitôt son état confirmé, son époux l'isola de Lucia et des petites, prenant pour prétexte une crainte de maladie. Si jusqu'alors, les trois plus jeunes avaient accepté sans broncher l'ensemble des règles, pour certaines étranges du chateau, celle là était hors de question. Seulement, ce n'était plus leur soeur qui était dans la chambre. Mais une vampiresse affamée.

Je m'interrompt quelques secondes, prenant prétexte d'envoyer Lorcan me chercher un verre d'eau. A chaque fois, je me demande si les mots que j'emploie relatent vraiment l'horreur que j'ai ressenti à ce moment, ce premier souvenir d'un temps qui, par son horreur avait effacé tous les autres. Le hurlement de la petite, alors que ma soeur se nourissait voracement à sa gorge. Mes hurlements. Le soulagement de Le voir arriver et l'obliger à lacher la petite exsangue. Et la compréhension petit à petit.

Je ne m'inquiète pas du fait qu'Eleonor puisse ignorer ce qu'est un vampire. Je sais que son père le lui a expliqué à 7 ans, comme aux jumeaux, avec les mêmes mots simples que j'avais employé pour lui, pour sa mère et son grand père. Et si les jumeaux ne m'ont jamais entendu moi raconter cette histoire, mon histoire, j'ai pu constater quils la connaissaient déjà, lorsque je suis revenue.

En société

Famille: VOTRE FAMILLE

Ennemis: ENNEMIS

Alliés: ALLIES

Situation: VOTRE RAPPORT AVEC LES CRÉATURES DE LA NUIT

Localisation sur l'Ombre

Votre demeure: OU LOGE VOTRE PERSONNAGE

Endroits les plus fréquentés: OU SE PROMÈNE VOTRE PERSONNAGE

But(s)

VOS BUTS ET AMBITIONS

Armes et équipement

Armes: ARMES (ATTENTION NOUS N'ACCEPTONS PLUS DE KATANA)

Objets personnels: VOS OBJETS PERSONNELS

Pouvoirs

- PREMIER POUVOIR CHOISI: DÉTAIL DU PREMIER POUVOIR CHOISI
Inconvénients: INCONVÉNIENTS DU PREMIER POUVOIR CHOISI

- DEUXIÈME POUVOIR CHOISI: DÉTAIL DU DEUXIÈME POUVOIR CHOISI
Inconvénients: INCONVÉNIENTS DU DEUXIÈME POUVOIR CHOISI

- PREMIER POUVOIR INVENTÉ: DÉTAIL DU PREMIER POUVOIR INVENTÉ
Inconvénients: INCONVÉNIENTS DU PREMIER POUVOIR INVENTÉ

- DEUXIÈME POUVOIR INVENTÉ: DÉTAIL DU DEUXIÈME POUVOIR INVENTÉ
Inconvénients: INCONVÉNIENTS DU DEUXIÈME POUVOIR INVENTÉ

Autres personnages

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