L'Ombre de Londres
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La capitale vit dans le chaos : les Vampires complotent toujours, les Hunters s'allient et s'organisent, les Alchimistes se révèlent, les Lycanthropes se regroupent et les Loups-Garous recommencent à tuer !

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Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42]

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Comte Keï
Admin
Comte Keï
Nombre de messages : 1814
Date d'inscription : 01/11/2007
Race : Vampire
Classe sociale : Aristocrate
Emploi/loisirs : Lord / Comte de Scarborought / Metteur en scène
Age : 589 ans
Age (apparence) : 28 ans
Proie(s) : Les Humains (pour se nourrir), les Vampires (secret)
Secte : Indépendant
Clan : Ventrue
Lignée : Kyasid (les ombres)
Rang Pyramidal : Premier
Crédit Avatar : KH_CT
Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42] Empty
MessageSujet: Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42] Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42] Icon_minitimeSam 28 Mar - 10:02

[HRP/ Suite du post "Dangereux Échos"/HRP]

A mon arrivée, je trébuchai dans la boue. Mes ongles se plantèrent dans l'écorce d'un vieux boulot, m'évitant de peu la chute, mais ma paume glissa sur sa surface poisseuse, couverte de lichens invisibles et d'eau de pluie. Je sentis mon corps basculer en avant et je dus faire preuve d'une incroyable volonté pour ne pas me laisser tomber complètement. Le coeur battant, je me redressai et tentai de me calmer.
Cette forme de chauve-souris, que de nombreux Vampires contrôlaient sans mal, m'était toujours aussi difficile. Ce n'était que la troisième fois que je réussissais l'exercice. Joyce avait possédé ce pouvoir. Son sang coulait désormais en moi et c'était sans doute ce qui m'avait permis la métamorphose ce soir. Un gain de temps précieux.
Remis de ma traversée de Londres, je me mis à errer comme un fantôme entre les arbres morts.

Au coeur de mon esprit, de nombreux échos des voix que j'avais entendues le jour s'entrechoquaient dans la nuit. Le Scotland Yard n'avait rien trouvé, rien qu'un bout de tissu ou deux et une secrète désillusion. L'héritière Spencer était morte aux yeux de ses agents et son cadavre ne serait jamais retrouvé dans cette profonde rivière qui l'avait sans doute emportée. Comment était-elle arrivée là? Nul ne le savait et nul ne le saurait jamais. Ignoble pessimisme. J'avais encore de l'espoir, même si je ne sentais pas sa présence. La rivière ne pouvait pas me l'avoir prise.
Je dominais cette dernière, le Thames, et laissais mon regard couler sur l'eau tumultueuse qui s'échappait entre les rochers passé d'âge. Le silence tranquille qui régnait sur ce lieu semblait me rire au nez, comme pour me prouver que seule ma douleur intérieure nuisait à l'harmonie du monde. Fallait-il abandonner? Jamais.

J'avais quitté le pont et mes bottes, luisantes de boue et d'herbe jaunie par l'hiver, s'enfonçaient dans la fange fraîche de la berge. Ma cape se raccrochait aux ronces et aux roseaux que je frôlais en rôdant près du bord. Quelques insectes ailés s'enfuyaient à mon passage, sans bruit, tels des esprits qui s'évaporaient pour me laisser ruminer dans ma profonde solitude. Le souffle d'une brise glacée soulevait mes longs cheveux pourtant noués d'un ruban aussi noir que mes vêtements et mon humeur. Je frissonnai, non pas de froid, je ne le pouvais plus guère, mais de tristesse et de rage. Cette femme avait toujours eu le don de réveiller en moi des sentiments et émotions contraires.

Écartant du revers de la main un buisson malvenu, je continuai mes recherches. Pourquoi la désirai-je encore? Était-elle si importante pour mes plans? Non. Elle n'en avait jamais réellement fait partie. Je m'étais simplement convaincu qu'il me fallait la conquérir pour l'utiliser ensuite comme pièce sur mon échiquier, comme reine. N'y avait-il pas d'autres femmes à combler? N'y avait-il pas d'autres sacrifices? Bien sûr que oui. Alors pourquoi "elle"? Il était légitime que mes disciples me le demandent régulièrement, même s'ils n'utilisaient que leurs regards pour me faire part de leurs questions. Je ne savais pas moi-même où cette relation tentait de m'emmener. Pourquoi la voulais-je déjà? Mes poings se serrèrent à mes côtés. Je le savais pertinemment.
Arame avait été mon seul amour à l'époque de mon humanité. Pourtant, je ne l'avais jamais approchée. Mon respect, mon rang, ma promesse à mon père...Rien ne m'avais autorisé à lui parler. Je me souvenais encore de son sourire, de ses longs cheveux ondoyants, de ses mains de porcelaine. Je me souvenais de sa voix. Sarah lui ressemblait. Son timbre était le même. Infime indice de réincarnation. Y croyais-je vraiment? Mon coeur et mon orgueil me murmuraient à l'oreille que j'étais dans mon droit de la revendiquer. Ce qui n'avait été qu'un jeu au musée Tussaud avait pris la forme d'une opportunité de vengeance absolue sur mon passé. Rien ne tenait. La trame de ma vie n'était qu'un archet en lambeaux vibrant sur des cordes dissonantes. Pourtant...je me sentais vivant, vivant et capable de m'épuiser tout à fait pour aller jusqu'au bout de mes desseins. Ma vengeance serait totale.

Un oiseau de nuit passa dans les frondaisons de la forêt vers laquelle le Thames se dirigeait. Jusqu'où devrais-je aller? C'était inutile. Qu'elle ait survécu ou non, son corps ne pouvait être encore dans les parages. Le Yard était composé d'imbéciles, d'Humains impotents, mais je doutais qu'il ait pu passer à côté d'une telle chose. Je perdais mon temps à parcourir les berges.
La fine bruine qui tombait depuis quelques heures se transforma en véritable pluie. Mes larmes disparurent dans ce don du ciel. J'étais fatigué. Les Sept ne tarderaient pas à me retrouver.
Délaissant la rivière, je remontai la butte d'herbe et de boue pour retrouver la route. D'un pas pesant, lourd de ma lassitude, je regagnai le pont. Le bas de ma cape était complètement couvert de terre et sur mes épaules pesait l'humidité de l'air.
Arrivé à l'endroit où "l'accident" s'était produit, je décidai d'avoir le coeur net quant à ce qu'il s'était passé. Même si mes forces m'abandonnaient déjà et que mon mal rongeait mes entrailles, brûlant à petit feu ce qu'il restait de mes pouvoirs, j'utilisai ma "vision parfaite". Mes iris grises prirent une teinte jaune et brillante. Le monde devint alors pour moi un véritable livre ouvert. Chaque forme m'apparaissait plus clairement que jamais dans l'obscurité de la nuit et la moindre trace, la moindre odeur, le moindre son me furent révélés. Je ressentis une vive douleur au sein de mon esprit, trop épuisé pour que l'exercice ne soit pas associé à une nouvelle souffrance, mais je l'ignorai. Ma tâche était trop importante pour que je n'utilise pas toutes les ressources que j'avais à ma disposition.

Je fermai un instant les yeux pour sentir contre mes paupières le souffle du vent. Dans les ténèbres, je gardais l'espoir.

Le fiacre qui devait ramener la jeune Spencer depuis le couvent jusqu'à la capitale avait clairement été attaqué. Le Yard avait établi que le véhicule, pris d'assaut par "des cavaliers", avait fini sa course sur le pont, l'arrière dans le vide, et il avait supposé que la jeune femme avait été enlevée ou précipitée dans la rivière. Les traces de fer à cheval et les longues traînées sur le chemin me prouvaient que ces informations étaient vraies. Les portières du fiacre avaient dus être arrachées, il y avait de nombreux fragments de bois incrustés dans la terre. Même si les Humains avaient dégagé le véhicule et pris soin de ramasser tous les gros morceaux, ce que je voyais dépassait de loin leurs capacités oculaires.
Bientôt, je retrouvai une balle. Sarah s'était défendue. La chasseuse ne devait jamais sortir sans une arme...A moins que ce ne fussent ses assaillants qui avaient tenté de lui tirer dessus? Mon regard s'attarda sur l'objet d'argent. Non...C'était bien à Sarah, ses doigts y avaient laissé des traces et la nature de son métal ne laissait plus aucun doute. Je laissai la balle à sa place, ne pouvant la prendre sans en souffrir. Elle me rappela amèrement celle que j'avais reçu dans le genoux droit. Cette dernière avait même été bien plus terrible puisqu'elle avait été faite de cette substance noire que les Hunters utilisaient contre les Créatures de la Nuit...
Il fallait que je continue mes recherches.
Au bout d'un moment, je fronçai le nez en découvrant une odeur que je ne connaissais que trop bien: celle du sang. Il y avait plusieurs fragrances mais, parmi elles, je sentis clairement celle de Sarah. Ma colère me submergea et je serrai les poings, laissant la balle d'argent enfoncée dans la boue entre deux touffes d'herbe gonflées d'eau. Qui avait osé?


*******************

Alors que je réfléchissais, une présence soudaine me fit l'effet d'un coup de tonnerre. Je n'étais pas seul! M'accroupissant pour faire comme si je souhaitais mieux observer un élément au sol, j'attendis, patient, que mon adversaire s'approche encore un peu. Puis, lorsque je fus certain que j'avais dans mon dos son ombre, je me retournai brusquement en envoyant une gerbe de boue dans sa direction. La terre s'étala en biais sur une surface invisible et un cri de surprise échappa au Vampire qui m'avait jusqu'alors observé sans dire mot. Je me jetai à son cou pour l'étrangler. Nos corps basculèrent et nous nous retrouvâmes au sol en une fraction de seconde. Mes longs doigts souillés de boue glissèrent contre sa peau mais je tins ferme ma prise. Serrant les dents à mesure que je faisais pression sur sa gorge, je tentai de le dévisager à travers son pouvoir d'invincibilité. Ma "vision parfaite" me le permettait d'habitude mais la pluie et ma fatigue brouillaient encore son visage.

- Arr..Arrête...Jirôma..

Je reconnus sa voix mais ne relâchai pas mon étreinte. C'était Bartholomew Mac Avoyd, un membre de la Camarilla, sous-fifre préféré des grands pontes de la Secte. Pourquoi l'épargner? Je savais désormais avec certitude que c'était les siens qui avaient attaqué Sarah. J'allai tous les éradiquer, un par un, et brûler leurs cadavres après les avoir réduits en charpie!
Batholomew tentait en vain de se dégager de mon impitoyable étau. Il n'avait déjà presque plus la force de serrer autour de mes bras ses mains désespérées.


- Je...J..Je n'suis..pas..ton ennemi...

Je n'avais que faire de ses paroles. Les siens avaient tenté de s'infiltrer dans ma vie avec des messagers tel que Sébastian, ils avaient essayé de me tuer dans les égouts après que j'eus achevé Joyce pour ses crimes, maintenant ils s'en étaient pris à Sarah, sans doute pour m'atteindre une nouvelle fois! Non! Ils ne méritaient plus de vivre sous mon égide! Ils devraient quitter Londres avant que je ne les dévore tous!

- Elle...elle leur a...échappé...Jirômaru...

Mon souffle près de son visage se fit plus rauque. Le Vampire dut sentir le doute m'envahir et mon étreinte se relâcher l'espace d'une seconde puisqu'il en profita pour m’asséner un violent coup de genoux dans l'aine et me renverser sur le côté. Je roulai dans la vase et me redressai aussitôt sur le côté pour lui attraper le pantalon. Il poussa un cri tandis qu'il glissait et chutait de nouveau avec moi. Son invisibilité avait disparu, à moins que ma vision ne se soit enfin stabilisée. Je le voyais clairement tenter d'échapper à ma poigne, gigotant comme un poisson hors de l'eau qui cherche à regagner son lit sablonneux.

- Tu ne m'échapperas pas! Bartholomew! Je vais tous vous étriper, tes petits camarades et toi! Vous êtes allés bien trop loin! Hurlai-je à plein poumon en proie à une rage indicible.

- Je ne suis pas avec eux! Je te l'ai dit! Elle leur a échappé! J'étais venu voir s'ils ne rôdaient pas encore dans le coin! Jirômaru! Arrête! Lâche-moi! Je t'en prie! Ressaisis-toi! Ecoute-moi!

Nos mains glissèrent l'une contre l'autre dans une lutte grossière où Bartholomew se défendait tant bien que mal alors que je ne cessais de chercher le moyen d'atteindre sa gorge.

- Arrête! Je ne veux pas te blesser! Gémit-il dans un râle plaintif.

Rien n'aurait pu mieux décupler ma colère que ce genre de phrase. Supposer que l'on puisse me vaincre lorsque l'on n'avait que trois cent ans d'existence et que l'on peinait déjà à éviter que ma main ne plonge dans son col, était d'une insolence incroyable.

* N'as-tu pas peiné, toi, face à un simple chien?*

Il était entré dans mes pensées. Que faisait-il là?

*Manouk! Non!*

Une main noire m'attrapa par les cheveux et m'obligea à lâcher prise en me tirant en arrière. Mes yeux croisèrent les siens, jaunes eux aussi, et nos esprits se lièrent à cause de la "vision". Nous partageâmes des souvenirs, des idées, des gouttes de pluies d'un temps passé où nous étions soudés. Le visage de Salluste me sourit puis disparut. Ambre salua Agnès. Maria me murmura qu'elle avait retrouvé ma partition. Arath s'agenouilla pour me prêter serment et me donna son épée. Ilsa m'observa de ses grands yeux pleins de mystère. Je lui proposai un avenir meilleur et lui confiai que j'aurai aimé avoir un enfant avec elle. Une rose blanche fana.

Sa main sur mon visage calma le flot de songes qui me traversait et apaisa ma colère. Il me soutint tandis que je défaillais, incapable de rester debout plus longtemps.


*******************

Les bras croisés, je regardais le Thames s'écouler sur le pont de bois sur lequel j'étais assis. Manouk et Barthlomew discutaient non loin mais je ne prenais pas part à leur conversation. La haine que j'avais contre la Camarilla ne s'était qu'estompée un instant et l'envie irrépressible de lui ôter la vie ne m'avait pas quitté. La pluie avait cessé, laissant à la nature le loisir d'absorber ce qu'elle lui avait déjà offert. J'étais trempé. Mes vêtements pesaient sur ma peau glacée, me donnant l'impression que tous les malheurs qui m'accablaient étaient des plus concrets.
Sarah ne quittait plus mes pensées. Si la Camarilla avait échoué dans sa tentative de l'enlever, où était-elle donc? La jeune femme était tombée à l'eau, de cela ils étaient désormais tous certains, mais son corps était introuvable. Même avec la "vision", sa trace se perdait entre les gravillons moussus du Thames. Était-elle morte? Était-ce réellement fini? Je ne pouvais m'y résoudre.


- Bartholomew a enquêté au sein de la Secte pour arrêter ceux qui ont attaqué le fiacre mais ils n'ont pas été retrouvés. Ils se cachent sans doute dans les égouts.

- Je les tuerai tous. Grommelai-je en serrant les dents.

- Ils se divisent, Jirômaru, c'est l'occasion de renouer une alliance, avec ceux qui sont restés fidèles à vos principes.

Je lui jetai un regard empli de colère. Qu'espérait-il encore de la Secte? Elle n'avait jamais été la bienvenue sur son territoire et je n'avais fait que la tolérer jusqu'à présent pour éviter que le Sabbat ne s'installe. Maintenant que ses membres avaient tenté d'entraver mes plans et qu'ils s'en étaient pris à l'une des seules personnes que je protégeais vraiment, comment une "alliance" pourrait être encore seulement imaginable?
Bartholomew avança prudemment vers nous, l'air timide. Son cou portait encore la marque de mes doigts. Il se racla le gosier et prit la parole en hésitant quasiment à chaque mot comme s'il craignait, à juste titre, que je ne lui saute de nouveau à la gorge sans crier gare.


- Une...une vingtaine de membres...nous sommes une vingtaine à vous suivre...Elvis W. Valentine en fait partie...Nous ne sommes pas vos ennemis...

Je ne pus retenir mon mépris. Je tiquai violemment et quittai la rambarde défoncée du pont pour me dresser devant lui. Manouk respira un grand coup, comme pour gonfler visiblement son torse afin de me rappeler sa présence.

- Alors pourquoi vous ne m'avez jamais réellement rejoint? Les crétins comme Rowe vous font-ils trop peur? C'est ridicule...Je devrai t'arracher la langue!

Bartholomew recula un peu et baissa la tête, honteux.

- Beaucoup ont des intérêts à défendre avec la Secte...Un peu comme lui...

Chantage, peur, lâcheté...c'était ce que je détestais le plus chez les membres de la Camarilla. Je ne m'étonnais plus de ce que le Sabbat ait connu son heure de gloire il y avait quelques siècles.

- Nous allons chercher la jeune Spencer. Nous continuerons à traquer les responsables de cette attaque, soyez-en sûr.

La belle idée! Mon sang bouillit. Une poignée de Vampires de la Secte chercherait à réparer les erreurs de leurs dégénérés? Magnifique...

- Vous n'êtes que des incapables. Pourquoi devrais-je vous faire confiance? De toute façon je n'ai pas besoin de votre aide.

Tournant les talons, je décidai de quitter les lieux. J'en avais assez vu et assez entendu. Si Sarah n'était pas retrouvée d'ici quelques jours, si elle n'avait pas survécu, ma vengeance serait terrible et personne, pas même Manouk, ne serait en mesure de m'arrêter sans avoir à me tuer.

[HRP/ Fin du RP. Suite chez les parents de Sarah dans "La Belle envolée"/HRP]


> Jirômaru Keisuke <

Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42] Comte_10

Shakespeare, Macbeth, I, 4, 1605 :

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Ton souffle sur mes yeux [Comte] [21/04/42]

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